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| Heinril "Ushida" IKRIEL | |
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Heinril Chef Sentinel
Nombre de messages : 28 Age : 34 Race : Nain Date d'inscription : 30/11/2006
Fiche de présentation Point de Vie: 1500 Points de Magie: 200 Niveau de compétence: 5
| Sujet: Heinril "Ushida" IKRIEL Jeu 18 Jan - 23:21 | |
| « Ushida » IKRIEL Heinril Fantassin (hache double)
Pierre-Luc ^^
Sentinel
Depuis la mort de son meilleur ami par des aspirants march’ombres, Heinril n’a de cesse de combattre ceux qu’il considère comme des monstres sans âme. Mais il ne nie pas les qualités des march’ombres. Ce qui l’attire chez les Sentinels, c’est cet Idéal que la guerre, aussi fine soit-elle, peut conduire à la paix. Après de nombreux voyages, il lui semble bien que c’est là son destin, et il fera tout pour y parvenir, y compris un sacrifice. Après tout, son ami lui a donné sa vie…
Ushida IKRIEL Heinril Âge : 47 ans (dans la force de l’âge) Race : Nain
Affiliation : Sentinel
Métier : Guerrier – fantassin compétences hallebardier (compétences en géomancie débutantes, aspirant ritualiste)
Ville de résidence : Itinérant (natal des monts Jumeaux)
Histoire : Heinril naît d’un père ordinaire et légèrement berserk, honnête et fort, d’une mère affectueuse et sensible. Il se révèle vite d’une intelligence supérieure à la moyenne, sans être surdoué. Sa maladresse si peu pratique pour le fils d’un professeur de cours minéral l’écarte tôt du métier de minier. Mais, vers 13 ans, sous le coup d’un accès de colère subit, il prend la hache de son père et repousse un voleur de sa chambre, puis de la caverne, puis de la division résidentielle, qui avait eu le malheur de bousculer sa peluche préférée en aluminium et aigue marine (un dragonnet). Son enfance calme fut interrompue de la sorte ; ses parents jugèrent bon de le placer dans les camps d’entraînement à l’Art militaire, dans lesquels, outre les enseignements généraux (mathématiques, sciences du minéral et de la Terre, ingénierie en ponts et architecture, Histoire du souterrain et de la Surface, langues communes et des Profondeurs, etc.), l’on apprenait la tactique, le génie fantassin, le maniement de la hache, le lancer, l’arbalète, le commandement – le génie militaire, quoi : comment tuer son voisin. Lors d’un entraînement à la hache, son premier pour être exact, son camarade et professeur, puis plus tard son ami, le bien nommé « Panda », lui apprit brutalement et efficacement que courir en hurlant pour brandir sa hache sur la tête de l’ennemi n’était pas la meilleure solution en duel… Il s’en sort avec une belle frayeur, une leçon bien utile par la suite, et une sale balafre sur le torse. Il a 15 ans et demi, et trente-deux ans plus tard, cela lui sert encore de pense-bête. Durant sa convalescence, qu’il emploie aux arts picturaux et à l’artisanat, il monte, à la veille de ses seize ans, vers la porte Ouest. Et lorsqu’il vit le ciel, il en pleura de joie - peut-être pour la dernière fois. Aussi surprenant que cela puisse paraître pour un nain de seize ans ou presque, ses yeux n’avaient jamais rencontré la douce lumière (d’abord crue et violente) du soleil. Un élan de volonté de tout savoir qui ne tarit jamais (encore aujourd’hui présent) le submergea. Il en parla à l’un de ses supérieurs de l’école martiale ; ces écoles étaient alors prospères, par crainte de rumeurs concernant un certain Sephirot, ou Zak, selon les bistrots. Le supérieur, avisé, connaissait ses aptitudes « théoriques » et son potentiel (l’une de ses sculptures l’avait impressionné), se dit que ça ne pouvait pas lui faire de mal, et lui conseilla fort sagement d’aller faire un tour du côté d’Edengrade à sa majorité (vers 24 ans communs), une université réputée à l’extrême occident, derrière les Lacs Bleus. Le jeune Ikriel, que ses camarades finirent par appeler « Ushida », Hacheur en nain oriental, se mit en devoir de se constituer un équipement digne de ce nom. Par un hasard que je ne qualifierai pas, un vieux forgeur, du nom de Masa Munë, lui conseilla d’essayer en tant que cobaye (mais il se garda de lui révéler cet aspect du contrat) un nouveau prototype d’armure, qu’il lui donnerait par la suite, alliant titane, bronze, or, incrusté d’Onyx des mines centrales excentriques, le tout rehaussé de Platine, pour le style. Excellent alliage : l’entraînement suivant, toujours à la hache, ne se déroula pas tout à fait comme prévu : le Panda lui refit une feinte et une contre-parade des premiers temps, mais cette fois-ci, la hache rebondit sur le plastron forgé de maître. Hurlant de rire et quitte pour une nouvelle peur, Heinril abattit son poing sur la face ahurie du Panda. Une lutte à main nue s’enchaîna, ardue, hargneuse, plein d’ecchymoses et initiatrice d’un belle amitié. À 17 ans, ils parcoururent les Monts Jumeaux, pleins d’espoir de conquêtes et de batailles de duels et de surprises, apprenant toujours, leur enseignant la dure vie de rôdeur, durant trois longues années. À vingt ans, encore très jeunes, nos deux jeunes gens, explorant une caverne, firent une rencontre extrêmement rare et extrêmement malchanceuse ; un Dragon écailleux Noir. Quoi ! Ramper le long d’un interminable souterrain carbonisé et remplit d’ossement plus ou moins inquiétants et grands, on ne pouvait pas dire qu’ils l’avaient cherché. Il leur fallut une seconde pour reconnaître la bête de légende, autrefois alliée aux Hauts Elfes, dans son sommeil troublé, et une seconde encore pour le réaliser vraiment. Mais il leur en fallut tout de même une trentaine pour ressortir le feu aux fesses et la peur au ventre. Voire même à la gorge. Dans la panique, pourtant, Heinril avait juste eu le temps d’apercevoir une hache runique dans un état déplorable. Hache runique signifie pouvoirs signifie œuvre d’art signifie également d’une façon subsidiaire beaucoup beaucoup et plus encore d’or. Mais la hache était bien le joujou préféré d’Heinril, et en possédait une lui mettait le cœur en incandescence, au moins autant que sa barbe au sortir de la grotte. On ne loupe pas quelque chose comme ça. Le Panda était plutôt de l’avis de laisser le dragon en paix pour l’éternité. Oui, c’était çà, le hic. Un dragon légendaire. Heinril, jeune et fou et terriblement bête, attendit la nuit et rampa, seul, donc, en implorant la Montagne d’étouffer sa progression. Après d’infinies précautions, et deux bonnes heures à parcourir 800 mètres, il la vit, enfin, scintillante pour une raison singulière qui lui était inconnue, mais qui ne pouvait signifier qu’une chose : la hache était encore magique. D’ailleurs, il n’en vit même pas les deux yeux rouges, immenses, à sa droite. Il s’approche, rampant si lentement que le temps semblait vouloir se figer, lentement… Il la tenait. Enfin. Son pouvoir se sentait à travers la poussière. Belle, incrustée… rouillé. Complètement. IIIRK Mais qu’importe ! Les runes étaient intactes, et il ne pouvait les déchiffrer à leur seule lueur. Des prêtres nains de Grande Maîtrise lui avaient autrefois insufflé une magie destructrice, cela il en était sûr. Il était temps de repartir… Il repartit, lentement, comme il était revenu, mais après quelques mètres (trois…) un rire caverneux et plus puissant que ce qu’il avait entendu jusqu’alors lui emplit le crâne. Eh oui. C’est puissant un dragon écailleux noir. Et intelligent. Et télépathe. Saloperie. La « voix » s’amplifia de nouveau : « Sais-tu que peu de personnes peuvent tenir cette hache sans être immolé par son pouvoir ? » Et le dragon enchaîna son récit sur la Hache, qu’il semblait si bien connaître, dans la conscience du nain qui ne savait pas vraiment pourquoi il était encore en vie. La Hache semblait avoir eu cent possesseurs, cent noms. Son premier propriétaire était une légende, un certain Druss. Son premier nom fut Snaga. Un illustre inconnu pour Heinril, ce héros de la Surface. Mais il semblait bien connu de ce dragon. Il lui enseigna, dans la froide caverne, que Druss avait été respecté par delà ce monde-ci, jusqu’aux Salamandres. Bien plus tard, un Roi Nain du nom de Barbe de Bronze vint saluer le dragon noir. Ce dernier s’appelait en réalité (de ce que Ushida compris) Gurd’Ûl Ruk’ Goron Gojilla’K. Mais le Roi fut trahi, et Gurd’Ül –pour abréger – qui le respectait pour sa grandeur d’âme, envoya rôtir au moins en enfer les traîtres. La Hache avait résisté, curieusement, et seule une Rune bleue luisait après le désastre. Heinril, toujours tétanisé et glacé de terreur, prit toutefois son courage à deux orteils, et lui demanda, en formulant dans son esprit toutes les marques possibles du respect, s’il pouvait repartir vivant, après tout. Et, puisqu’il ne le sentait pas de toute façon, s’il pouvait garder la Hache. Le dragon, qui s’était rapproché, pesamment, le considéra froidement de ses yeux fendus, terrifiants. Il esquissa un sourire (disons que ses canines ressortirent) : « Puisque tu n’es pas mort de cette Hache, c’est que tu dois valoir quelque chose… » Un râle sorti de sa gueule… Là-dessus, le lézard d’outre-pensée cracha une flamme blanche qui réduisit le reste des ossements en poudre. Heinril rouvrit les yeux, persuadé d’être dans le monde promit par le prêtre de sa division résidentielle. Mais il tenait toujours la Hache, son armure était intacte, le dragon souriait de toutes ses canines, seule une petite fumée s’élevait devant ses yeux. « Tu n’as plus de poux. Mais ta barbe flambe ». Après une scène typique d’un nain tentant l’impossible pour sauver de ce qui restait de sa fierté virile, le jeune Ikriel considéra la Hache, puis le dragon, puis la caverne, puis la Hache encore. Une Rune bleue scintillait, s’éteignant progressivement. Il se sentait même… revigoré. Une pointe acérée d’admiration se faufila une place avec la peur pure dans ses yeux. Le dragon le dévisagea, observa la Hacha avec satisfaction, jeta un coup d’œil à la caverne, puis revint au bout de chair devant lui. Finalement, il n’était peut-être pas si faible. « Va ! » Il est relativement compréhensible que Heinril ne s’étala pas pendant un quart d’heure en remerciement mais couru le plus vite possible vers la sortie, en marmonnant un merci mental toutefois assez puissant. Il reste qu’une fois sorti de l’antre du mythe ailé, il ne dit au « Panda » fou d’inquiétude que la moitié de l’histoire, se bornant à lui narrer sa sortie et la bonté du dragon. Il ne remarqua qu’une fois le jour haut que la Hache n’avait plus une seule trace de rouille. Ils continuèrent ainsi, joyeux, crasseux, sifflotant, vers de nouveaux horizons. Tous deux voulaient être forts avant de se présenter à Edengrade. Ils subsistèrent, entre quelques combats passagers dans des centres de combats du pays, en aidant quelque villageois, par-ci par là, dans de menues tâches ne nécessitant pas une très grande taille. Vers l’âge de 21 ans, son agile compagnon en ayant 27, une escarmouche de bandits dégénère. Ils se déclarent apprentis March’ombres. Mais ils ne font pas que déclarer. Appâté par le collier en or du colosse nain de 1m45 qui marchait aux côtés d’un compère de même race un peu plus petit, ils fondirent sur l’équipe et tuèrent celui qui se faisait appeler le Panda, d’un coup de dague bien placé. Heinril s’arrêta un instant (un dixième de seconde) qui lui parut si long, regarda son ami à la jugulaire tranchée, puis une brume rouge s’emparât de lui, et lorsqu’il revint à ses esprits, un petit tas de cubes d’aspirants march’ombres souillaient le sentier. Sa première rage berserk avait montré sa puissance.
Il enterra son ami sous un chêne rouvre, solide et jeune, puis reprit lentement son chemin vers Edengrade. Si lentement et tristement, s’enrageant contre ces ennemis que tout le pays semblait craindre, qu’il n’arrive à Edengrade qu’à 47 ans, à l’heure actuelle. Ce qui advint entre-temps n’est qu’une suite de petits arrêts dans des villages, dans des bibliothèques, dans des champs, aidant et s’instruisant, sculptant et combattant. Arrivé à l’Université, il s’aperçut curieusement que ce n’en était plus vraiment une. Des bâtiments d’une construction typique et spéciale s’alignaient, grands, mais il n’apercevait pas de professeurs dehors, enseignant les soins aux créatures magiques, les tours ne bouillonnaient pas d’élèves. Il s’instruisit de la situation politique actuelle d’Edengrade, et décida de rencontrer les Sentinels, ces âmes fortes qui avaient décidé de combattre, semblait-il, ces saletés* de march’ombre. Il désirait écraser tous ces morveux de March’ombre qui s’étaient mesurés, à quatre, à son ami. Il en brûlait. | |
| | | Heinril Chef Sentinel
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Fiche de présentation Point de Vie: 1500 Points de Magie: 200 Niveau de compétence: 5
| Sujet: Heinril "Ushida" IKRIEL (2) Jeu 18 Jan - 23:28 | |
| Famille : Heinril Ikriel est le fils d’un honnête nain, vigoureux, travailleur, qui, si calme soit-il, est déjà entré dans une rage berserk, sans qu’il ne sache plus pourquoi. Sa mère est une naine sensible et attentive toujours dans ses pattes, jusqu’à ses 13 ans, lorsqu’il fit fuir le voleur de sa demeure. Il a un grand frère, qui travaille hardiment dans la construction d’un pont majeur depuis 12 ans. Son père, Hikolin, sa mère, Gonoline, son frère, Korhène, habitent dans une demeure de nain : basse, vaste, bien éclairée, sous la terre… bien sûr. Ils font tous partie de la branche plus ou moins orientale de la race naine, et le frère de sa mère, Ghylain, est parti vers les terres du Septentrion lorsque Heinril avait 5 ans. Ils vivent actuellement heureux, recevant quelquefois des nouvelles du petit dernier par le bouche à oreille.
Descriptions :
Physique : Heinril, comme tous ses compères nains, est plutôt petit. Mais de ses quatre pieds de haut, on peut dire qu’il dépasse le quidam d’une demi-tête. À 42 ans, soit encore dans sa « jeunesse » , il arbore, outre un sourire franc et triste, de longs cheveux châtains, en bataille sous son heaume léger. Cela ne l’empêche pas de prendre soin de sa barbe rousse, sombre, signes de l’adulte à venir, et de les tresser avec minutie en deux longues tresses épaisses que viennent heurter ses moustaches claires, également tressées, dans un stéréotype si complet qu’il doit parfois essuyer les railleries de ses collègues. Malgré cette pilosité faciale, son visage ressort bien et il n’est nul effort à fournir pour comprendre l’expression de son visage : ses yeux noisettes et farouches s’en chargent la plupart du temps. Son torse, musclé comme un esclave pirate, voire, deux esclaves pirates, est bâti comme un tronc d’arbre, et porte une unique blessure : son premier entraînement à la hache ; les autres lui furent épargnées par une armure unique – et son habileté. Enfin, c’est tout de même une méchante estafilade en travers du buste. Ses jambes sont robustes, si l’on ne compte ses genoux un peu cagneux. Vers ses 16 ans, il vit enfin le soleil. S’il l’eût fait plus tard, il aurait pu être myope. Par la suite, de nombreux voyages ont basané sa peau, que sa nature orientale transforme en belle peau un peu cuivrée.
Morale : Il n’y a pas grand-chose à dire, du moins c’est ce que vous diront ses proches, ou plutôt ses connaissances. En réalité, il fut éduqué dans une doctrine purement traditionaliste, avec son lot d’archétypes concernant les minéraux : l’exploitation, la forge, la reconnaissance… Avec ces histoires de Sephirot, les cours ne cessaient de changer et les spéculateurs s’arrachaient les cheveux. Il apprit à désapprendre cette vision trop particulière du monde. Un beau jour, il perçut le soleil (vous le saurez, vers ses 16 ans), et un sentiment de curiosité et de désir de voyages s’emparèrent de lui sans jamais lui laisser de répit. Sa nature d’insatisfait ne peut être rassasiée si facilement. Sa capacité de remise en question est stupéfiante, il peut changer du tout au tout s’il considère que la nouvelle situation correspond à sa vision des choses, et à ses idéaux. Ces derniers sont très personnels et axés sur une voie martiale et une quête d’un Bien.
Signes particuliers : Il a trente-sept petits grains de beauté sur le bras gauche. Il aime le chocolat. Il est très agile avec une hache. Et désireux de tout connaître pour ne plus rien savoir – enfin.
Armes : Sa Hache, qu’il renommera Snaga Gurd’Ül, ou, plus brièvement, Snagül. Cette hache est spéciale, elle a abrité un démon autrefois. Elle absorbe le feu de provenance magique, et tranche très, très bien. Semble narguer le destin. Des runes aux pouvoirs inconnus sont incrustées dans le fer. ??? Il possède également deux hachettes de lancer et une dague de survie. | |
| | | Fondateur Admin
Nombre de messages : 52 Métier : Fondateur-Admin Date d'inscription : 05/11/2006
| Sujet: Re: Heinril "Ushida" IKRIEL Dim 21 Jan - 20:42 | |
| bienvenue Heinril,
Quelque petite chose: Les haches c'est Hallebardier, pas Fantassin.
Il faudra que tu me précise avant les combats la vrai nature de tes runes, voila. Au pire tu me dit tout sa au lycée.
Correcteurs, enfin LINI, C'EST TOI QUI T'Y COLLE (XD) | |
| | | Heinril Chef Sentinel
Nombre de messages : 28 Age : 34 Race : Nain Date d'inscription : 30/11/2006
Fiche de présentation Point de Vie: 1500 Points de Magie: 200 Niveau de compétence: 5
| Sujet: Re: Heinril "Ushida" IKRIEL Dim 21 Jan - 23:38 | |
| Je sais bien.. ^^ mais je ne suis pas du tout légèrement en retrait, je suis au coeur de la bataille. Et c'est tripant fantassin. T'inquiète Lini t'auras pas beaucoup de boulot. Salut !!! | |
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| Sujet: Re: Heinril "Ushida" IKRIEL | |
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| | | | Heinril "Ushida" IKRIEL | |
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