Quete de la gemme rouge.

se sentant agressé par ces paroles vides de sens, il saisit un bazooka qu'il jeta vu que ce n'était pas ce qu'il charchait. il fit de même avec une fourchette, une cuillère, un ordinateur portable, une chèvre, le canon d'un tank, un vieux coffre, une armoire ancienne en chêne massif, et enfin une boule de feu. non sans un certain étonnement de ce que pouvait contenir sa poche il trouva enfin ce qu'il cherchait: une nouvelle grenade. il jeta un coup d'oeil aux deux autres chose présentes dans la petite pièce puis tira sur la goupille.
sa main se relacha lentement et la boule noire glissa jusqu'au sol qu'elle frappa dans un bruit sourd. c'est alors qu'un choeur sortit du sol et entama un puissant "halléluja"
un intense lumière ilumina la petite pièce.
lorsque ernest réouvri les yeux il se trouvait au milieu d'un cratère à quelques mètres de son compagnon unijambiste

"Oh mon dieu, où donc avons nous atterri, compagnon de fortune?"

Ces paroles auraient été celle prononcées par Kuolema si il était moins con, et surtout si il n'était pas évanoui comme un cafard dans une cuisine.

À la place, il dit donc: "Gzui"

Mais il n'en pensait pas moins. Vrai, foi de gros, comment après une telle explosion, il pouvait se retrouver au milieu d'un cratère fumant? C'était inexplicable.

ernest ne su que répondre face au "Gzui" accusateur de kuolema.
-voyons le bon côté des choses, nous avons toujours la ge...
il sourtit la main de sa poche vide
"con!" pensa-t-il, il avait jeté le coffre lors de sa recherche d'une grenade.
il s'apporcha du centre du cratère et découvrit un trou. sa première idée fut d'y jeter son gras compagnon pour en sonder la profondeur, mais il se ravisa voyant un escalier. il poussa donc le gros dans l'escalier...

Vu qu'il était toujours inconscient, Kuolema s'en foutait pas mal d'être ainsi malmené.

Au bout de quarante-deux marches, il commença à émerger. Il s'agrippa , et arrêta de tomber comme une merde.

"Ou c'est que je suis, nom di diou de fils de poutre?"
Seul des rires venant de 21 marches en contrebas lui répondirent, tel une invitation au tourment.

"Hey, Rnest! Viens un peu ramener ton cul ici, ça à l'air intéressant! Et... Ils donnent des crêpes gratuites au 10 premiers arrivés!"

Satisfait de sa ruse, le gros attendit.

kuolema su trouver les mots pour attirer ernest. l'idée d'un crèpe au liquide vaisselle le fit descendre les 42 marches en quelques secondes. il stoppa sa course lorsqu'un gras personnage lui bloqua le passage.
-hey! mon instinct me dit que si nous mangeons des crêpes, nous connaitrons avec exactitude la position de la gemme dans ce trou.
il shoota dans kuolema pour le faire avancer. il atteignirent alors une porte. ils entrèrent. ernest entendait des chuchotement et des ricanements. il faisait très noir. soudain la pièce s'illumina:
-joyeux anniversaire!!!
ernest, surprit, saisit un couteau et le lança dans la foule. la lame coupa la main de quelqu'unn main qui mis une claque à un autre, qui en représaille en frappa encore un autre et ainsi de suite jusqu'à créer un sacré chaos.

Au bout de quelques secondes, tout le monde était mort dans la pièce, sauf ceux qui se trouvaient dans la pièce. Au final, il y avait des égratignures pour tout le monde, mais c'était tout.
Kuolema en avait profité pour bouffer le gâteau.
Ensuite, il demanda aux gens frustrés à qui était cet anniversaire, et on lui répondit:

"Ben au vieux con, ça fait pile une semaine qu'il est mort, alors nous autres zombis, on l'attendait, m'voyez?"

Oh mon Dieu, sauvez nous, pensa Kuolema. Ernest,lui, ne pensa rien, comme le pot de fleurs se trouvant à proximité de lui.

le regard vide, le cerveau dans les chaussettes, ernest resta figé quelques instants. puis il remis son cerveau à sa place parce que quand même avoir son cerveau dans ses chaussettes c'est plutôt douloureux.
"des zombies..." pensa-t-il, "qu'est ce que ça peut bien être?". il le compris rapidement en voyant une chose rempante lécher les restes de cerveaux sur ses chaussettes.
-il va nous falloir combattre kuolema, délara t il.
il saisit son epée qui brillait d'une lueur bleutée. c'était une sorte de signal d'alarme pour lui dire qu'il se trouvait dans un endroit peu éclairé, "bah oui, le jour on voit pas qu'elle brille" comme le disait la pub TV

"Hey, mais, j'ai pas d'armes moi! Donne m'en une, sinistre gras!"

Ernest, en contemplation devant son épée en plastique bleu, ne l'entendis pas.

"Très bien, j'vais me battre comme eux alors!"
Kuolema se mis donc à bouffer les zombis, qui, effarés, se replièrent, pensant que l'un des leurs était deveindu fou.

"Lopettes! dit une voix venant d'on ne sait où.

En se retournant, d'abord du mauvais coté, ils virent quelque chose qui les stupéfia: Un canard.

mais pas n'importe quel canard, un canard avec des baskets et une moustache
-nous sommes tombés dans un traquanard, s'écria ernest avant d'éclater de rire, content de son jeu de mots.
il eu alors une idée, il saisit un grille pain et vida un pot de mayonaise dedans. ça ne srvit à rien mais il était content. le canard regardait ce type louche faire ses conneries avec incompréhension
-hey! je suis là moi, et je vous ai traité de lopettes! s'écria le canard
ernest se retourna brusquement faisant tomber le grille pain brulant englué de mayo qui explosa projetant une cuillère dans une porte qui tomba sur le canard

"Oh mon Dieu, t'as tué le canard! Il avait l'air important, sale enfoiré!

Un voix sous l'armoire de 3,5 tonnes lui répondit:

-Ach, nein, je suis pas mort, mais je sais que l'autre con aimerait bien! Je vais me sortir de là!"

Et d'un grand coup d'on ne sait quoi, l'armoire normande explosa en cure-dents, liberant le canard allemand.

"Impressionant, s'exclama Kuolema. Peut être pourrait tu nous aider, connard de canard?"

ernest s'approcha de kuolema et lui glissa à l'oreille

-ce canard a l'air louche, quelqu'un qui porte une moustache et des baskets en même temps n'est pas digne de confiance...

il se tourna ensuite vers le canard

-sait tu où se trouve la gemme?
-la trouve?
-la gemme
-la quoi?
-gemme
-sans doute mais...
-mais?

le canard se lança alors dans un long monologue

-je viens du pays de pleugandplè, mon père était un prostitué, ma mère fourgeron. très tôt ils m'ont abandonné à mon destin. pour faire face à mes besoins j'ai cherché un travail. je suis alors devenu mousse sur le takigeorge où je me liait d'amitié avec quelques métèques et autres juifs errants et pâtes à crêpe. (je devins également célèbre dans le monde du cinéma après ma rencontre avec un certain walt d, cousin éloigné de serge d.. mais c'est une autre histoire). durant un voyage, je découvrit un caillou joli. quelques années plus tard le légendaire vieux con m'informa que mon caillou était en fait une gemme et qu'elle avait un grand pouvoir. malheureusement on me la vola. je partis donc à sa recherche à travers le desert. mais je compris qu'il était trop tard quand je découvrit un campement avec un brigand mort, des chevaux à moitié bouffés et autres réjouissance. je rentrai donc chez moi quand j'entendit au loin un majestueux "halléluja!" et après je me suis réveillé dans ce cratère.

-c'est donc toi le responsable de la malédiction! meurs! s'écria ernest en saisissant une épée et le gros kuolema comme bouclier.

s'ensuivit une longue course poursuite jusqu'à ce qu'il atteingnent une porte d'où provenait une intense lumière...