Bonjour...

Douceur, calme, quiétude. Les rives angéliques du lac Guirnog au petit matin sont un des plus beaux endroits de tout le pays. Un havre de paix, malgré tout les évènement récents. Un petit paradis, rien ne peut venir troubler la beauté complexe de ce lieu. Quelques fois, une onde se dessine à la surface de l'eau, un oiseau léger vient de partir, un poison frôle la surface joueur. Un exemple de jovialité. Rien ne pourrais venir brisé le charme séculaire de cet endroit, pas même un cavalier. Un cavalier de malheur et de désespoir. Oui même les pires être de ce pays ont besoin de solitude et de réflexion. Un repos bien mérité, une dernière pause avant de retourner dans le feu des combats, où il finira bien par laisser sa peau. Le cheval noir au pas, son cavalier immobile, comme mort... La monture s'approcha de l'eau et s'y abreuva. L'homme mis pied à terre, et fit tomber sa capuche sur son dos. Pour la première fois, le vent caressait le nouveau visage de Zak, un visage jeune mais surtout inconnu du reste du monde. Il s'assit sur un rocher qui surplombait l'eau. Il resta là, il contemplait la surface qui lui renvoyait ses nouveau trait. Ces trait qui n'était pas les siens. Il pris une poignée de cailloux et les rendit plat et rond en un coup de cuillère à pot. Il les lança un à un, faisant quelques petits ricochets. Son cheval s'approcha de lui.

Floyad~: Maitre... Vous ne devriez pas vous mettre dans des état pareil. Depuis maintenant 115 ans nous voyageons tout les deux, et c'est la première fois que je vous vois dans ces états là.
Zak~: Hélas Floyad, voila près de 3 lune que je rêve de cet endroit pour des raisons qui me sont inconnus. Je n'ai pas pour habitude de me conformer à la pratique des rêves, mais dans celui là il y avait toujours un moment flou. C'est la raison pour laquelle je suis venu jusqu'ici.
Floyad~: Si monsieur sait se qu'il fait.

Le cheval s'éloigna du chef March-ombre, toujours perdu dans être, dans sa détresse intérieur. Il était là et absent. Lorsque que tout les cailloux furent jetés, il en reprit d'autre, et répéta l'opération. Le regard toujours vide, Zak ne bougeait pas, mis à part son bras droit qui lançait les pierres.
Les question remplirent sa tête. Des interrogations sur ces actes, son passé, son futur, sur lui même et sur bien d'autre sujet. Mais Zak n'y prêtait pas attention, il voulait se détendre, loin de toute pression, loin de tout ennemi. Sa nouvelle apparence pouvait lui donnait le repos nécessaire, mais combien de temps encore. Combien de temps allait il pouvoir rester à découvert avant que son identité soit de nouveau percé. Il avait pu tenir deux ans avec son précèdent visage. Mais il était resté cacher, loin du conflit. Aujourd'hui la guerre avait commencé, beaucoup de gens comptait sur lui, il ne pouvait faillir à son devoir de chef. Il devait être Zak Nightmare, le chef March-ombre, le Fléau d'Edengrade, la Peur des Habitants, le Supplice des Sentinels. Il devait être fort, il devait être implacable. La seul chose qui le dérangeait aujourd'hui, était qu'il ne connaissait pas les raisons de sa venu en ce lieu. Quelle force l'avait poussé à venir ici, et surtout pour y rencontrer qui?

HRP – Désolée pour l'énorme retard Steph . |

Dans la vie, le hasard n'existe pas ; tout n'est que fatalité. La nuit avait recouvert le paysage naturel de la plage, la clarté de l'eau se troublaient, les animaux se cachaient à l'approche d'une vie humaine ; Reith. Elle marchait depuis plusieurs jours, elle ne savait plus où elle en était, ce qu'elle faisait ici, et surtout, pourquoi. Qu'est ce qu'elle devait accomplir dans ce vaste monde, et avec quoi ? Ces souvenirs qui l'avaient échappé, ces souvenirs qui s'étaient envolés, sans rien, sans indices, rien que son nom, ainsi que celui de Lini. Ce jeune homme qu'elle eut rencontré il y a peu, et qui la délaissa après de brèves explications incompréhensible. Elle savait juste une chose : elle n'était pas normale. Elle avait un truc, quelque chose en elle, qui la rendait comme irréelle, paranormale. Elle qui ne comprenait rien à la vie, qui ne savait rien, à part parler et rire. Ce monde, elle semblait en connaître tous les recoins, mais à la fois être perdue dans une vaste plage, où le sable recouvre ses pieds, usés par les journées de marches. Ses habits étaient troués, en piteux état, elle avait faim, mais n'avait pas cette habitude de survit, qu'on tous les êtres humains, elle avançait. Car tout n'est que fatalité. Ce soir, il se passera bel et bien quelque chose, quelque chose qui changera sa vie, il le fallait, car elle ne tiendrait pas ainsi longtemps. Vraiment.

« Qu'est ce la vie, quand on obtient pas les réponses que l'on désire tellement ? » pensa-t-elle. Elle voulait tout savoir, tout de suite. Elle voulait que ses rêves se réalisent, qu'elle puisse s'envoler, comme un oiseau qui battrait des ailes. Rejoignant les cieux, le monde magique, ou même, pire. Elle le voulait vraiment, avec ses airs d'adolescente en pleine crise, incomprise. Tout ce qu'elle souhaitait, c'est savoir le minimum de sa vie, qu'avait-elle fait durant toute ces années ? Quel âge avait-elle, en fin de compte ? Et tout le reste, toute ces questions sans réponses, sans rien pour l'éclairer... Le temps était révolu. La jeune Hargreaves marchait encore, sentant le sable froid parcourir ses pieds, lui faisant parcourir de léger frisson, tous aussi écoeurant les uns que les autres. La lune était la seule lumière qui l'éclairait, le phare était éteint, on pourrait même croise qu'il était abandonné, mort. Un sifflement se laissait entendre, un bruit de trot passant au galop. Reith vit de ses yeux émeraude un cheval passer à quelques centimètre d'elle, faisant comme si elle n'existait pas. Cette dernière se retourna, pour le voir une dernière fois, mais plus rien, il n'était plus là. Soit la jeune fille avait été victime d'hallucination, soit ce cheval n'était pas... normal, lui aussi. Silence.

Les muscles de la demoiselle étaient à bout de force, elle commençait même à voir un peu flou... A peine. Mais elle avançait, de part sa détermination et ses convulsions, elle le devait. Puis après quelques secondes, elle cisailla des yeux, et aperçut une ombre, près de l'eau. Elle conclut qu'il y avait quelqu'un, elle s'approcha donc, en silence, sans faire aucun bruit qui pourrait la trahir. Elle était très discrète quand il le fallait. Ah ah. Elle n'était qu'à quelques centimètre, Reith lui frôla l'épaule, et appuya un coup, avant qu'elle ne voit son visage. Il était blond, les cheveux un peu long, avec des airs... spéciaux. Reith ne l'avait jamais vu, elle n'avait jamais vu personne à part Lini ne toute manière (si on oubli les rares villageois qui l'ont maté à son réveil).

Liberty – « Hum... Bonjour. » Dit-elle calmement.

Elle ne savait pas pourquoi, mais il se passait quelque chose, son coeur battait, comme pour l'avertir de quelque chose, mais elle n'y prêtait pas attention, c'était peut être normal, en fait. Et puis, Reith n'avait pas vraiment l'habitude d'être sur ces gardes, et puis le jeune homme avait l'air chaleureux et gentil. L'apparence ne fait pas le moine, comme on le dit si bien. Qu'elle tête fera donc la demoiselle à la fin de la discussion ? A voir, vraiment. A ce moment, elle se contentait seulement de sourire, niaisement, sans même se rendre compte que la personne qui se trouvait en face d'elle était Zak. Et d'après Lini, Zak c'était l'ennemi à abattre le plus vite possible. Armons nos citoyens, ah ah.

La jeune femme transi, perdu, arriva au bord de l'eau. Elle flânait, comme inconsciente presque somnambule. La jeunesse et le peu de souci qu'elle possède. Mais elle titubait. Ces muscle trahissait une faiblesse, aussi physique que moral. Elle longeait le bord de la rive, absente...

Zak toujours sur son rocher avait cesser de lancer ses cailloux, et tout autour de lui, on pouvait voir qu'il ne s'était contenter de quelques poignées. Il était désormais appuyé sur ces poignées, la tête basculé en arrière, profitant de la brise légère qui fouettai son nouveau visage. Il était paisible, posé, calme,...mais toujours sur ses gardes. Un chef de guerre reste un chef de guerre, même en temps de paix, Zak lui reste un homme ne supportant pas que les choses échappent a tout ordre logique. Il lui fallait une certaine assurance dans les actes et le points a accomplir. Une habitude qui le rend trop calculateur, voire manipulateur. Un véritable démon...

Mais en ce paisible moment, rien ne l'atteignait plus, comme si le preux chevalier avait oter son armure impénétrable. Il était redevenu simple, se jouant de tout les pièges. Et même lorsqu'un des gardiens arriva près de lui.

Liberty – « Hum... Bonjour. »

Zak ouvrit les yeux doucement, releva sa tête de la même façon. Ses cheveux retombèrent sur ses pupilles. Et un léger sourire se dessina sur ses lèvres fines. Il descendit de son rocher, et s'inclina poliment.

Zak~:Bonsoir mademoiselle.
*Séphirot~:C'est un des gardiens! Zak attention !!!
Zak~: Rassure toi je le sais. Mais regarde la. Ses yeux livide et son regard fuyant. Sa peine palpable et son désarroi concret. Elle même ne sait pas se qu'elle est venu faire ici.
Séphirot~: Amuse toi, si tu veux, je sent que cela va être drôle.
Zak~: Ne profitons pas, renseignons nous plutôt sur ces fameux gardiens.*

Zak se releva gracieusement, et oui on ne peux pas chasser sa nature, même en changeant d'apparence. Un elfe reste un elfe, même avec l'apparence d'un humain.

Zak~: Cela fait plusieurs heures que je vous attend très chere

Liberty – « Hum... Pourquoi m'attendiez-vous ? »


Zak s'assit sur la berge, devant le lac... Calme comme a son habitude. Pas Zak, le Lac... Un havre de paix. Mais alors pourquoi ici, pourquoi les dieux avait il choisi ce lieu. Zak l'ignorait et cela le rendait perplexe. La jeune femme debout derrière lui. Il regarda avec insistance ce lac. Au loin, les lumières de Duranog s'éteignaient une à une, plongeant la ville dans le noir.

Zak~: Voila plusieurs nuits que je rêve de cet endroit, et une personne m'y rejoint. Ne comprenant guère la signification de tout ceci. Je me suis mis en quête de ce lieu angélique. en t'attendant. Certes je ne connais pas grand chose de toi. Mis a part que tu es un des deux gardiens.

Zak tourna la tête vers elle, lui adressant un petit sourire amical. Il ne voulait pas ce battre, son altercation avec Lini, lui avait suffit pour la moment. Il préférait parler a ce jeune ennemi, encore sous la surprise de tout ces évènements. Il la regarda avec insistance. Puis se leva, serra son pantalon de cuir elfique, défit sa veste, et commença a avancer vers l'eau. Il y plongea après quelque pas et s'arrêta se tournant vers la berge. Il ne faisait rien d'autre, il regarda la jeune gardienne. Même lui devait se demander se qu'il était allé faire dans l'eau ? Non mais sérieux !! Il était assez loin de la berge, il ne pouvait pas vraiment savoir l'expression du visage de Reith, mais il se doutait qu'elle devait le prendre pour un orignal, un illuminé peut être. Mais bon elle n'était aps la première à le pensé en ces temps obscurs...

Zak~; Tu as quelque chose à me dire ? Alors vient donc nager un peu! Elle est froide, mais elle revigore! et puis j'ai l'impression que tu as besoin de t'amuser un peu! dit il dan un sourire.

Le Dumner plongea quelque seconde puis remonta à la surface. La gardienne n'était plus dans son champs de vision...


*hrp: dsl pour les Rp de merde que je fais, mais j'ai tellement Rp cette semain que je suis en panne d'inspi total (-_-").*